top of page

Considérés parmi les plus gros « producteurs » de déchets au monde, les Québécois génèrent en moyenne 20 tonnes de matières résiduelles par minute, dont près des deux tiers sont acheminés vers des incinérateurs ou des sites d’enfouissement !* Pourtant, des études démontrent que 85 % des rebuts domestiques peuvent être valorisés.

 

*Source : Gouvernement du Québec

 

 

Puisque nous éliminons deux fois plus que nous mettons en valeur, la quantité de matières résiduelles mises aux déchets excède actuellement la capacité de traitement de l’incinérateur de la Ville de Québec. La gestion de ces matières résiduelles est responsable de 7 % des émissions de gaz à effet de serre sur le territoire de la Communauté métropolitaine de Québec Rive-Nord. D’énormes quantités de ressources, toujours utiles à la société, sont ainsi perdues. Et notre consommation s’accroît sans cesse…

 

Du point de vue économique, social et environnemental, la meilleure solution consiste à gérer plus efficacement les matières résiduelles. Voilà l’objectif du PGMR ! Comment y arriver ? En diminuant nos déchets non valorisés par laréduction à la source, le réemploi et le recyclage. De tels gestes éviteront de devoir agrandir l’incinérateur et prolongeront la durée de vie du lieu d’enfouissement technique de la Ville de Québec, à Saint-Joachim, évaluée à 40 ans si lesobjectifs du PGMR sont atteints. Cette « participaction » du citoyen permettra également de diminuer le recours aux ressources naturelles requises pour la fabrication de nouveaux biens.

 

Un second lieu d’enfouissement ?

 

Loin d’être une option avantageuse, l’ouverture d’un second lieu d’enfouissement technique représenterait un investissement de dizaines de millions de dollars et multiplierait les effets néfastes pour l’environnement. De plus, pour bien des citoyens, un lieu d’enfouissement n’est habituellement pas le voisin rêvé…

 

 

Pourquoi un PGMR ?
bottom of page