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Alors, plutôt que de gaspiller, pourquoi ne pas profiter de la valeur ajoutée de ces matières? Cela contribuerait à rationaliser l’utilisation de nos ressources naturelles et à les préserver pour les générations futures. D’autant plus qu’il est moins coûteux de récupérer, de réemployer ou de ne pas générer ces matières, que de les éliminer. Sur le plan social, c’est sans équivoque plus acceptable en 2015 de remettre en circuit des matières qui autrement seraient perdues.   

Depuis plusieurs années, partout au Québec, des efforts ont été accomplis pour réduire l'élimination des matières résiduelles. Malgré cela, on estime qu'il y aurait encore 46 % des matières générées qui sont toujours éliminées sur le territoire de la CMQ, que ce soit par enfouissement ou incinération. Il est maintenant temps de changer d'attitude, et même de vocabulaire, car il n'est plus ici question de déchets mais bien de ressources. Nous sommes des générateurs de matières, et tous ensemble nous produisons d'immenses gisements à exploiter. 

UN GRAND PROJET POUR LA COMMUNAUTÉ 

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